Kazuo Shiraga, La danse du dragon à 2 têtes, 1984, huile sur toile, 181 x 273 cm, Collection privée
Rien n’est plus passionnant, plus redoutable que le dialogue avec soi-même. On y est aux prises avec une foule que nulle harangue n’arrive à apaiser, une multitude où chacun vocifère ou, pire, se tait. C’est une solitude harassante. Plénitude et vacuité s’y conjuguent dans le magma froid et ardent où la conscience fraie son chemin entre peines et plaisirs.
Raoul Vaneigem, De la Destinée, 2015
Vos si, fait ration….je mon ô logue !!!!